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France-Emmanuelle vous informe

Si vous êtes sur mon blog c'est probablement que vous rencontrez un problème au sein de votre couple, vous cherchez une solution ?

16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 13:49

 

prise-de-couple.jpgNous sommes tous emplis de certitudes et de valeurs que nous pensons être immuables et nécessaires à notre vie quotidienne, que ce soit dans le domaine du travail, de l'éducation, de nos aspirations les plus personnelles ou bien de nos raisonnements et de nos sentiments. Nos caractères ont intimement besoin de bases solides pour s'exprimer et évoluer sans peur, notre psychée est ainsi faite que nous avons ce besoin de nous (r)assurer que nous allons continuellement dans la bonne direction, que nous agissons toujours au mieux et surtout sans risque...


Parce que la psychologie humaine et les rapports que nous entretenons avec autrui sont construits dans ces mêmes optiques préfabriquées de "bien et de mal", de "faire toujours mieux", de "paraître bien", de "se contrôler", de montrer que "l'on peut agir fort"... en deux mots : avec compétitivité dans nos actions et nos relations. Nous en sommes tous à nous encadrer sans cesse de murs pour mieux tracer des couloirs comportementaux propres à nous rassurer ou à nous assurer le succès d'une entreprise, d’un gain de valeur aux yeux du monde, ou d’un comportement "idéal" et formaté. Formaté pour notre famille, pour notre "groupe"... et envers la société, mais ne digressons pas sur des thèmes trop ethnologiques pour notre sujet !

 

Ces deux premiers paragraphes d'introduction sont importants, ils montrent d'emblée toute la complexité à "être soi", si possible "bien", dans nos environnements en "poupées russes", en partant de nous-mêmes, pour passer par le couple ou la relation intime, par la famille plus élargie, par les collègues ou amis, et enfin pour finir par l'ensemble de la société dans laquelle nous évoluons et interagissons, chacun à nos niveaux. Ces environnements demandent inlassablement des réponses immédiates en terme de raisonnements et d'actions, de comportements... et généralement nous aimons avoir le contrôle complet de la situation afin de minimiser tout potentiel d'insécurité qui pourrait engendrer du stress, de l'incertitude, voire même des erreurs ou pire... des "fautes".

 

Hélas, avec ce type de réponses, l'enfermement ainsi généré par nos habitudes, par nos fausses ou réelles contraintes, nous emprisonne dans un carcan de pseudo-certitudes et d'idées acquises qui nous poussent presque toujours à agir de la même façon, sur le même mode opératoire sans aucune possibilité de changement de direction. Ces comportements répétitifs ou automatiques de prise de contrôle de tous nos environnements sont évidemment autant d'aliénations potentielles qui peuvent restreindre nos capacités de changement et d'évolution personnelle, c'est ici le paradoxe : à trop vouloir contrôler, se contrôler, l'on aboutit au résultat contraire, à une sorte de rituel quotidien de comportements formatés et restreints.

 

A un niveau strictement personnel, vouloir tout contrôler c'est s'enfermer dans ce rituel, quelquefois s'enfermer dans des comportements déviants sans même s'en rendre compte. Prenons l'exemple des addictions qui sont des répétitions comportementales, elles sont aussi induites indirectement de cette volonté de contrôler notre vie "via un rituel quotidien", par exemple : fumer une cigarette à un moment précis, en effet rien de plus simple que d'allumer une cigarette, et l'on sait à l'avance aussi qu'elle va se consumer... la finalité est donc connue, cela rassure tout autant que la dose de nicotine absorbée. Cette exemple parmi tant d'autres, comme les comportements alimentaires excessifs, certains TOCs, ou tout simplement certains types de raisonnements invariablement récurrents sont autant d'enfermement sur une voie unique et souvent sans réelle issue que d'être connue à l'avance pour avoir l'impression d'une "prise sur le réel", et de se rassurer...  

 

Au niveau du couple cela est encore plus complexe, il peut y avoir ce même problème de "vouloir contrôler", pour se rassurer soi-même mais aussi pour croire que l'on rassure le (ou la) partenaire, qu'il faut faire et penser selon tel ou tel mode en voulant forcer unilatéralement la façon de penser ou d'agir... Bien évidemment, cela n'a pas toujours le résultat positif escompté, être sûr de ses propres choix, surtout s'ils sont formatés selon les certitudes définies précédemment, cela aboutit à une forme d'autoritarisme déguisé en volontarisme. D'ailleurs la très grande majorité des problèmes de couple provient de cette volonté de vouloir "bien faire les choses" pour son conjoint au sein du couple, voire même "en faire trop" afin de montrer que l'on sait faire ! Mais, en faire trop c'est aussi souvent aller au-delà de nos limites et de celles de la relation de couple, laquelle ne demande peut-être pas que l'on dépasse certaines bornes ou force certaines barrières. Dans tous les cas, même s'il vous aime, votre conjoint ne veut pas être continuellement sous contrôle, laissez le moment propice à la sexualité de se charger de cet échange de "contrôle réciproque", la sexualité est la soupape de sécurité du couple en matière d'exercice du pouvoir, toujours sur le mode d'une jouissance partagée et d'un plaisir exacerbé par de surprenantes incertitudes ludiques, orchestrées ou non. 

 

Alors intervient enfin le Lâcher-prise" ! Comme je viens tout juste de le signifier ci-dessus, faire l'amour est une sorte de lâcher-prise pour le couple, c'est un moment spécial où l'on "se laisse aller", mais cela ne suffit pas au quotidien puisqu'il faut aussi savoir lâcher-prise sur la plupart des autres domaines d'activité, en recherchant des modes comportementaux en commun pour que le couple soit viable/vivable. Ceci est une question de volonté et de flexibilité de chacun au sein du couple. L'intérêt du couple étant que chacun va apporter une forme de sécurité à l'autre en proposant son aide, en étant fort de sa présence et donc d'une sérénité existentielle véritable. Tout ce qui d'ailleurs contribue finalement à échapper à l'enfermement personnel, à évacuer les fausses idées, à contraindre nos mauvaises habitudes à se soumettre à l'intelligence commune du couple... Un couple harmonieux, c'est un couple qui s'aide, un couple qui se soigne, car le couple est le plus fort catalyseur du "lâcher-prise" de nos problèmes personnels, grâce à la prise de conscience qu'il apporte dans le regard de l'être aimé.


Aimer, c'est savoir se relativiser par rapport à l'autre en se tenant à ses côtés, c'est lâcher-prise de soi pour prendre une part de l'autre !


Mais savoir lâcher-prise est souvent difficile sans aide extérieure car cela est à la fois une remise en question personnelle et une prise de conscience. Au sein d'un couple, lorsque l'un, ou les deux conjoints, ont un problème personnel, alors ce problème peut nuire à la bonne harmonie du couple et une solution doit être trouvée rapidement. Étant spécialiste du couple je vous viens en aide pour trouver ces solutions et mettre en plein jour avec vous tous les points sur lesquels vous devrez lâcher-prise.

 

N'hésitez pas à me contacter via ma bannière ci-dessous (un clic pour aller sur le formulaire de contact) ou bien plus directement par téléphone au : 01.73.58.36.36 ou 06.50.75.95.14 (numéros non surtaxés). À très bientôt et sachez aussi que vouloir Lâcher-prise est déjà une très bonne prise de conscience !

 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 06:14

 

difference-d-age-coupleAvant de nous poser la question sur la problématique de la "différence d'âge" dans un couple, posons-nous déjà en préambule la bonne question suivante : "à partir de quelle différence d'âge peut-il y avoir potentiellement un ou des problèmes ?" Effectivement, si vous avez à peine deux ou trois ans de plus que votre partenaire, vous conviendrez aisément que la question se pose peu, voire pas du tout. Par conséquent il est peut-être judicieux de poser la question graduellement et logiquement, par tranches d'âges, par écart d'âge et évidemment par genre (l'homme ou bien la femme plus ou moins jeune, dans un sens ou dans l'autre…).


Avec ces trois paramètres de base nous pourrons donc plus précisément juger, d'une part la pertinence de la question et d'autre part la réalité ou non de la problématique soulevé. En d'autres termes, la question de la différence d'âge implique "a priori" des réponses différentes selon ces paramètres… Mais n'oublions pas que l'amour n'est ni une affaire de statistiques ni défini par une simple équation mathématique !

 

D'autres éléments importants semblent à prendre en compte, notamment le fait que l'un ou l'autre ait déjà des enfants, ou bien ni l'un ni l'autre n'en a, ou bien encore les deux… La question de l'environnement familial induit forcément un équilibre très différent dans la vision d'un couple avec une forte différence d'âge, surtout si l'un des deux a "déjà bien vécu sa vie" en ayant fondé précédemment un foyer alors que l'autre n'en est qu'à la primo-construction de ce foyer avec ce conjoint plus "mature". Mais déjà nous sommes dans un cas de figure d'un couple avec une différence d'âge notable, d'au moins 12 à 15 ans ou plus, et ici le plus jeune des deux peut se poser légitimement la double question : "si je veux avoir un enfant, le veut il (elle) aussi", et est-ce encore possible…

 

Dans tout couple, la question de l'enfant (déjà présent ou bien à envisager) sera la pierre angulaire de la relation, sauf évidemment si ni l'un ni l'autre n'en veulent pas, ou bien s'ils ont tous les deux dépassé la question elle-même (s'ils ont par exemple déjà des enfants adultes…).

 

Outre la question purement familiale, qui reste primordiale pour un couple, prenons l'exemple d'une femme de 34 ans avec un homme de 50 ans. 16 ans de différence d'âge, est-ce beaucoup, ou peu ? Quels sont les rouages subtils qui entraînent ce couple pour qu'il "fonctionne" ? En se projetant dans l'avenir ce couple va-t-il tenir quand l'homme aura 70 ans et la femme un peu plus de 50 ?

 

Se projeter dans l'avenir est aussi à l'ordre du jour si le conjoint est plus âgé, car la vie professionnelle ou même l'état physique de la personne peut impliquer un déséquilibre "social" entre les deux conjoints… Avec une différence d'âge notable, le couple risque au fil du temps d'avoir des préoccupations radicalement opposées ou très peu complémentaires, c'est ici le principal problème à notifier. De plus, il peut aussi exister un écart de références culturelles qui éloigne encore un peu plus les deux partenaires, ceci n'est pas à négliger ! Il est important d'avoir une même base culturelle pour bien communiquer, si ce n'est pas le cas alors le dialogue n'aura pas le nécessaire "écho référentiel" qui lie intellectuellement les couples harmonieux.

 

Mais on peut aussi rechercher un (ou une) partenaire plus âgé(e) pour des raisons d'équilibre personnel… Une femme plus jeune peut en effet rechercher la protection et la stabilité d'un homme plus mature, il y a ainsi une osmose positive réciproque, l'un apporte cette stabilité-là où l'autre apporte son dynamisme et son énergie. Beaucoup verront par contre dans cet exemple assez trivial le schéma type de la femme jeune qui recherche surtout la stabilité financière d'un homme mûr bien établi socialement en lui apportant en contrepartie sa jeunesse physique, pour ne pas dire son dynamisme sexuel… cette typologie caractéristique fonctionne sur des bases plus "pratiques ou vénales" que véritablement sentimentales, donc attention de ne pas mélanger "avantages réciproques" avec amour réciproque, l'un dure plus longtemps que l'autre !

 

Dans tous les cas, avec une certaine différence d'âge notable dans le couple, il faut y voir aussi une vraie "dynamique de complémentarité" sinon le couple ne peut durer. S'apporter réciproquement quelque chose que l'autre n'a pas afin d'évoluer à deux avec cette richesse à partager est le grand secret des couples qui durent, qu'ils soient jeunes ou plus matures, avec ou sans écart d'âge. Partager certaines valeurs, la confiance en l'autre, l'attention et l'amour dans le respect du partenaire n'a pas d'âge ! Il est certainement plus facile de partager quand le couple a vécu les mêmes "aventures culturelles" et dispose des mêmes références, mais il n'est pas non moins satisfaisant d'échanger d'autres références ou aventures inédites et les faire siennes, c'est aussi cela l'amour : "aimer apprendre et accepter ce que l'autre apporte".

 

Tant que vous avez quelque chose à recevoir et à donner dans votre couple, vous avez ce dynamisme positif qui vous fait avancer dans la même direction, finalement l'âge n'est qu'un élément accessoire qui ne peut faire ombrage à l'amour que vous vous portez mutuellement. La société et le regard des autres peuvent néanmoins "interroger" constamment votre couple sur sa réelle compatibilité, ceci peut vite devenir une force comme une épreuve à vivre, par conséquent la différence d'âge dans le couple se gère quotidiennement, à chaque instant, c'est une relation plus complexe mais certainement plus riche à vivre et à faire évoluer avec une grande complicité renforcée avec le temps qui passe et vous rapproche de plus en plus.

 

Si vous avez une grande différence d'âge dans votre couple et que vous désirez discuter de cette problématique propre à votre relation, n'hésitez pas à me contacter en cliquant sur ma bannière ci-dessous ou plus directement aux 01.73.58.36.36 ou 06.50.75.95.14 (numéros non surtaxés). 

 

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 14:19

couple_parents_homoparentalite.jpgLa rentrée de ce mois de septembre 2012 est forte d'une actualité propice à l'éducation des enfants dans le contexte scolaire mais aussi au sein de la famille, que celle-ci soit recomposée ou non, monoparentale ou non, hétérosexuelle ou non. Il est déjà loin le temps où la question de l'homoparentalité (c'est-à-dire le droit pour deux personnes du même sexe de pouvoir éduquer "légalement" à deux un ou plusieurs enfants) n'était même pas abordée et restait une sorte de tabou social. Aujourd'hui cette revendication, dont les termes doivent encore à cette heure être définis, devient un véritable thème de société au même titre que le mariage homosexuel qui en est évidemment la base de tout l'édifice...

 

Le simple fait de reconnaître homoparentalité dans les faits, puisque celle-ci existe bel et bien (plus généralement pour les couples homosexuels femmes) implique une réponse claire des institutions sur ce sujet afin que la "réalité des droits" soit à la véritable hauteur d'une "réalité du quotidien". Pour autant, malgré l'évolution des mentalités, le couple traditionnel, celui issu de l'union entre une femme et un homme, reste le plus légitime, ceci via le mariage, pour institutionnaliser ces droits parentaux alors que beaucoup de couples vivent ensemble avec des enfants en commun sans pour autant être mariés… voyons ici aussi une évolution des mentalités et des comportements, alors devons nous nous poser nous la vraie question : celle de l'éducation "à deux" plutôt que celle des genres qui composent le couple pour ce droit à éduquer ?

 

Évidemment, la réponse est encore une fois inscrite dans le marbre de nos traditions ou de nos lois, notamment civiles et laïques mais aussi religieuses… et sur ce dernier thème il est encore plus complexe de définir arbitrairement des orientations généralistes sans déstructurer le fondement même de ces traditions qui sont multiples et ancrées dans nos sociétés par le multiculturalisme, nous voyons par le même coup que le couple, la famille et les interrelations entre les éléments de cette "famille protéiforme" font intervenir une multitude de paramètres touchant chacun d'entre nous au coeur d'une réflexion bien plus que juridique, c'est une réflexion philosophique et éthique sur nos modes de vie contemporains en société, aujourd'hui en France mais aussi évidemment en occident, pour ne pas dire "mondialisée" puisque la question se pose où que nous soyons tant elle est aussi généralisée !

 

Comme nous le voyons, le débat en cours est passionnant, à la fois par les enjeux intellectuels qui vont en découler que par le niveau de liberté que la société et ses traditions vont bien vouloir laisser aux couples en matière de choix d'union et de reconnaissance de mode de vie. Cette question dépasse donc même l'homoparentalité, c'est ici un tournant presque historique au niveau des mentalités, du "qui vit avec qui et comment"… c'est une question de "Liberté de couple" au-delà de la simple "Liberté individuelle", il y a donc tout une réflexion intellectuelle, juridique et institutionnelle à mettre à plat et à élaborer sans attendre, à la fois beaucoup de travail pour nos politiques, nos penseurs et aussi pour l'ensemble de la population qui est au premier plan de ce bouleversement idéologique, lequel peut tout aussi bien rester encore longtemps en l'état actuel, c'est-à-dire dans l'incertitude.

 

Espérons simplement que le débat débouche effectivement sur des actes forts et positifs de la part des pouvoirs publics afin de renforcer la cohésion sociale tout en développant une pluralité et une diversité de "choix de couple" et de modes de vie familiale associés, en cela la société doit jouer un rôle actif quant à l'élaboration de propositions afin de rendre ses administrés confiants en leur donnant cette liberté de choix. Beaucoup d'entre vous me diront qu'il y a des règles, des lois et des traditions qu'il ne faut pas modifier… alors dans ce cas libre à chacun de suivre ces mêmes lois et traditions sans entraver la marche de l'évolution des mentalités que d'autres voudront suivre.

 

Changer les mentalités ou les faire avancer reste difficile, mais ne soyons pas pessimistes, nous vivons une époque effectivement assez difficile mais véritablement fantastique avec de nombreux défis à surmonter et des moyens pour y arriver, bien entendu nous avons des défis économiques et  financiers, énergétiques et environnementaux, mais aussi et surtout des défis idéologiques importants, à la fois éthiques et sociaux pour mieux vivre en société(s) "nos unions et partages de vie" en toute(s) liberté(s), ceci dans un cadre à la fois juste, équilibré et large d'esprit. Nous pouvons tous en être certains, bien ou mieux vivre, c'est avant tout avoir la joie de partager sa vie avec la personne de son choix au-delà de certains critères étriqués ou dictés, tels le genre, "l'âge du capitaine" ou tout autres paramètres… tant que les personnes désirent cette union basée sur leur volonté réciproque de vivre ensemble leur amour en famille.

 

Chaque jour je suis confrontée aux problèmes de couples très divers, et à des couples très différents dans leur mode de vie relationnel. Pour ma part je ne porte aucun jugement sur les choix qui sont faits, je ne suis que l'auxiliaire ponctuelle qui apporte des solutions adaptées à chacun dans l'orientation initiale qui a été choisie afin que ces choix soient compatibles et harmonieux pour le bien du couple formé. J'ai de plus en plus souvent des couples homosexuels dont les problèmes viennent justement principalement d'une non-reconnaissance de leur statut et de leur liberté de choix au sein de la société dans laquelle ils vivent, je combats cette situation en donnant les conseils les plus adaptés afin que le couple ne pâtisse pas de cet environnement pour le moins hostile en sachant que rien ne peut ni ne doit entraver leur union s'il la désire vraiment. Dans tous les cas vous pouvez me contacter si vous désirez discuter de votre problématique de couple, soit en me téléphonant directement aux 01.73.58.36.36 ou 06.50.75.95.14 (numéros non surtaxés) ou bien en cliquant sur ma bannière internet ci-dessous:


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16 août 2012 4 16 /08 /août /2012 19:16

polyamourDans les années 30, des femmes revendiquaient haut et fort pour la première fois "l'amour libre", dans les années 70 la "libération de la femme" faisait rage de manière plus libertaire encore, mais aujourd'hui, en 2012, les couples modernes scandent avec une ferveur non dissimulée une toute nouvelle révolution et libération amoureuse sous l'appellation de "polyamour" !

Mais qu'est-ce donc que cet amour au pluriel, que ce trublion de polyamour ? Une nouvelle mode "new age" ou bien un réel mode de vie amoureuse ? Serait-ce la fin du couple et de sa forme fusionnelle si apparemment restrictive et contraignante ? Serait-ce la fin de la monogamie occidentale imposée comme seule alternative relationnelle... ou du moins de sa forme traditionnelle pour ne pas dire traditionaliste ?

A ces très intéressantes questions je vais essayer de répondre tout en donnant mon propre avis, de manière totalement objective. Mais tout d'abord, définissons bien le terme et ce qu'il recouvre de sens afin d'en cerner au mieux sa substantifique moelle ! Le mot par lui-même n'ayant pas d'importance particulière quoi qu'assez significatif pour dire qu'il nous donne déjà bien le tempo, nous ne nous attarderons pas longuement sur son apparition durant les années 90 au Royaume-Uni dans un article de presse puis dans une demande officielle d'ajout au dictionnaire (sous sa forme anglaise "polyamory"). Ceci laisserait penser que les anglais seraient, peut-être les initiateurs, du moins les inventeurs du terme...

Comme le laisse entrevoir le mot générique : "poly" signifie plusieurs, et "amour" nous est parfaitement compréhensible ! Ce qui donne donc : "plusieurs amours", ou plus précisément la possibilité que dispose une personne, femme ou homme, d'avoir simultanément plusieurs relations amoureuses assumées et revendiquées pleinement... Attention néanmoins de ne pas confondre avec d'autres notions apparemment proches ou faussement synonymes comme le libertinage ou l'échangisme lesquels ne font appel qu'à l'aspect sexuel de la relation alors que le polyamour dispose d'une dimension plus large en y associant, avant tout et principalement les sentiments amoureux.

Afin de mieux cerner précisément ce type de "pluri-relation", il faut savoir qu'un polyamoureux dispose, d'une part d'une totale liberté d'aimer plusieurs personnes simultanément, c'est ici son droit, mais d'autre part son devoir réciproque est d'être aussi impérativement ouvert et franc vis à vis de son ou de ses partenaires, ceci en assumant et en respectant cet aspect multiple des relations, directes et indirectes. A noter que tout ceci se fait manière totalement franche, naturelle et transparente. Cette multiplicité des relations amoureuses peut donc devenir assez complexe à concevoir ou à organiser, non seulement au niveau purement pratique mais aussi, bien évidemment, au niveau mental, intellectuel, sentimental et... sexuel.

Entrer en relation polyamoureuse c'est donc à la fois faire preuve d'une très grande liberté d'esprit et de moeurs en étant à la fois responsable, lucide et serein sur l'ensemble des relations amoureuses "inclusives", tout en gardant sa propre indépendance, celle-là même qui, "a contrario", est exclusivement captée par la fusion instillée dans un "couple traditionnel". L'on voit parfaitement l'avantage majeur de ne plus être dépendant d'une unique relation fusionnelle, de ne plus être comme attaché(e) à une seule personne, comme "prisonniers à deux" du lien conjugal au sein de l'impérieuse "entité couple". L'on pourrait presque utiliser une image en se disant que le polyamour fait bonne figure de démocratie des sentiments là où le couple se place en implacable position de dictature relationnelle !

Sans faire un éloge exacerbé du polyamour ou des relations amoureuses multiples, il faut bien se rendre compte que nous sommes en présence d'une intéressante alternative au couple traditionnel, d'une évolution des mentalités en matière de relations humaines au sens large en y incluant les sentiments et évidemment la sexualité. Au-delà de la simple relation amicale, puisqu'elle va beaucoup plus loin, cette tendance relationnelle semble avoir de plus en plus d'adeptes mais aussi ses détracteurs acharnés puisque être polyamoureux c'est aussi récuser fermement l'hégémonie du couple, refuser de ne se contenter que d'une relation forte et exclusive à la fois, c'est donc vouloir revendiquer pleinement une liberté et une ouverture d'esprit expiatoire face à un relatif mais bien réel enfermement dans cette institution que représente le couple monolithique.

Le polyamour sera-t-il un jour une norme dans le futur ? Le couple deviendra-t-il la forme préhistorique des sentiments amoureux pour laisser la place à une nouvelle génération plus ouverte, épanouie et diversifiée ? Est-ce la fin des ruptures dificiles en préférant faire évoluer sa dimension sentimentale, en "incluant" plutôt qu'en supprimant brutalement une relation pour n'en choisir qu'une seule autre totalement "exclusive" ? Si vous avez des problèmes de couple, le polyamour peut, dans certains cas, devenir la bouée de sauvetage d'une relation initiale (appelée aussi "primaire" ou primordiale) en y apportant une potentielle solution durable et salutaire.

Pour en discuter ensemble durant une étude personnalisée, n'hésitez-pas à me contacter au 06.50.75.95.14 ou au 01.73.58.36.36 (numéros non surtaxés), vous pouvez aussi cliquer sur ma bannière ci-dessous pour me joindre par e-mail:

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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 07:18

probleme_couple_jeux_video.jpgIl faut bien vivre avec son temps, on nous le dit, on nous le redit et évidemment on le fait ! Aujourd'hui les activités du couple se sont, semble-t-il, diversifiées, du moins "numériquement" parlant pour madame comme pour monsieur, en effet plus question de rester devant la télévision durant des heures à attendre son feuilleton préféré comme dans les années 60, ou bien plus question non plus de faire du shopping style "lèche vitrines" sur les boulevards en usant ses souliers le long de trottoirs mal pavés, non c'est fini, internet est passé par là et de nos jours la VOD (vidéo à la demande) ou le Podcast ont remplacé les programmes d'antan que l'on ne pouvait voir, "avant", que sur quelques chaînes TV hertziennes avec une réception souvent médiocre et uniquement à des heures fixes d'ailleurs, même la TV est depuis passée totalement au numérique, non seulement avec la TNT, mais aussi avec des centaines de canaux internationaux non-stop jour et nuit de quoi avoir une réelle indigestion d'images ! Et en ce qui concerne le shopping nous parlerons plus à propos de "lèche écran" puisque tout est disponible, ou presque, sur les innombrables sites d'e-commerce en ligne, le tout avec des animations, des zooms, des coloris à volonté et même en 3D avec insert de sa propre trombine via webcam sur le petit ensemble qui nous va si bien !

 

Vous me direz avec grande assurance : quelle liberté, quel bonheur ! Nous vivons une époque fantastique ! Entourés de nos écrans, petits ou grands, d'ordinateur, de tablette ou de Smartphone 3G, nous ne sommes plus jamais seuls, au contraire, toujours connectés, toujours visibles, partout à la fois s'il le faut en un mot : le rêve ! Et bien, par forcément car le rêve peut vite devenir un réel cauchemar au quotidien pour le couple. Si madame passe des heures sur internet ou rivée sur son téléphone portable dernière génération à tapoter comme une effrénée, monsieur n'est pas en reste, loin de là ! Il peut lui aussi passer plusieurs heures, voire des jours entiers la face collée sur son écran plat, la manette frénétique scellée sur ses mains à déambuler dans des univers virtuels des plus abracadabrantesques, puisque "IL JOUE !”

 

Ce n'est pas que monsieur retombe en enfance "en jouant", non, d'ailleurs ne lui dites surtout pas ça au risque qu'il ne le prenne plutôt mal et vous regarde d'un très sale oeil non, monsieur est littéralement absorbé par son jeu, lequel a pris pouvoir sur lui comme l'hypnose pourrait le faire pour un grand malade, ici aussi ne lui dites pas qu'il joue trop, il vous répondra qu'il doit finir sa quête ou terminer son niveau, après il pourra s'occuper de vous, à la limite vous faire l'amour s'il n'est pas trop épuisé par ses combats vidéoludiques ! Car, vous l'aurez compris, jouer fatigue, non seulement les yeux, mais tout le bonhomme et si vous avez besoin d'un "câlin actif", il faudra vous contenter de le voir s'endormir d'un coup sur votre sein sans même y toucher.

 

Mais quels sont ces jeux qui vous volent votre mari ? Pires que des maîtresses, les jeux vidéo absorbent toute l'énergie vitale de votre mâle Celles qui connaissent WoW (World of Warcraft) peuvent vous en parler savamment, ce jeu épuise celui qui s'y adonne, pour ne pas dire celui qui s'y donne, ceci jusqu'à la dernière goutte puisqu'il ne s'arrête jamais WoW fait partie de ces jeux les plus additifs, car ce sont des "MMO" (jeux massivement multi-joueurs) autant dire que celui qui y joue n'est plus ici, il est ailleurs, accompagné de milliers d'autres ! La très mauvaise nouvelle c'est l'arrivée de Diablo 3, le roi des jeux en ligne, il avait déjà fait des ravages avec sa version 2 durant plus de quinze ans le voici en une version encore plus prenante, et pour combien d'années ? 

 

Votre compagnon est un "hard-gamer" ? Si oui, alors au contraire réjouissez-vous, au moins vous avez deux atouts importants : vous êtes tranquille pendant qu'il joue, et vous savez qu'il est à la maison. Par contre, à vous de gérer ensemble le temps qu'il passe sur ces jeux et faites lui comprendre que vous voulez qu'il s'occupe de vous aussi ou bien alors vous avez une solution radicale et satisfaisante : jouez ensemble !

 

Actuellement l'informatique et le numérique modifient progressivement l'ensemble de nos modes de fonctionnement au quotidien, tant dans le domaine du travail que des loisirs ou dans une multitude d'autres catégories d'activités. Notre univers moderne est hyper connecté avec bien des avantages, mais aussi des inconvénients réels si nous ne les maîtrisons pas, c'est à nous de gérer raisonnablement cette avancée technologique afin qu'elle nous soit pleinement profitable personnellement, mais aussi au niveau du couple. Le partage va aussi dans le sens de l'intérêt que nous portons à l'activité de notre conjoint, s'il aime jouer alors intéressons nous à ce qu'il fait mais en contrepartie il participera lui aussi à notre propre activité en retour, pourquoi pas faire à deux du shopping en ligne si c'est le cas. Vivre ensemble, en couple, c'est avant tout partager du temps à deux et aimer la compagnie de son conjoint, par conséquent apprenons à comprendre les nouveaux outils informatiques que nous avons à disposition afin d'en tirer partie pour le couple, pour le meilleur et non pour le pire !

 

"Chaque homme cache en lui un enfant qui veut jouer." Friedrich Nietzsche

 

"Etre ou jouer le jeu voilà la question de la vie entière." de Michel Bouthot

 

"Pour jouer, l'homme dispose avant tout de lui-même. Dès l'origine, il est son propre instrument." Jean-Louis Barrault 

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 07:08

voyance_probleme_de_couple-copie-2.jpgNos univers conjugaux quotidiens, ceux de nos vies de tous les jours, sont confrontés depuis quelque temps à une forme d'irrationalité naturelle qui envahie doucement (de manière cyclique à l'approche des grandes vacances) nos esprits et nombre de médias, magazines et sites internet de tous horizons, vous vous demandez certainement de quoi je parle exactement bien que vous l'ayez déjà sur le bout de la langue, j'évoque ici bien entendu : "la voyance" !

 

En effet, disons-le sans ambages, cette sourde attraction ésotérique qu'engendre le "phénomène voyance" sur le grand public est une mode de plus en plus suivie, non seulement pour notre plus grand plaisir et divertissement personnel, comme par exemple rechercher ses affinités amoureuses en fonction de son signe astrologique de naissance, ou bien consulter certaines prédictions obtenues (on ne sait trop comment..) pour savoir si son partenaire va, oui ou non, nous tromper et partir pour toujours ou bien rester dans nos bras pour l'éternité !

 

Cette mode du bizarre et de l'irrationnel, sous couvert d'une pseudo science un tant soit peu amusante, permet d'une certaine façon de rassurer aisément grâce à des formules assez simples, mais efficaces. Souvent dictées à l'emporte-pièce, ces "prédictions" ne s'accommodent pas d'une grande logique ou d'analyses bien poussées, elles sont généralement le reflet de nos peurs intimes, de nos petites ou grandes angoisses, celles que notre amour disparaisse ou soit sous une quelconque "emprise extérieure", pour reprendre les termes appropriés dans de tels discours fantasmagoriques.

 

Devons nous avoir quelques inquiétudes, non pas de notre relation amoureuse actuelle, mais plutôt que l'on cherche à nous faire croire que la voyance pourra nous dicter irrémédiablement notre avenir, que ce dernier est déjà figé dans le marbre du destin que l'on veut bien nous dispenser grâce à des facultés extralucides. La réponse est certainement oui : inquiétons-nous surtout que ce troisième "membre invisible" du couple, celui qui se tient pourtant au loin (voire même dans un ailleurs assez flou), lequel pourrait nous imposer ce dictat d'une destinée amoureuse toute tracée, et ainsi interférer radicalement dans la communication habituelle du couple. Ne laissons pas ce privilège à d'autres, des voyants, des inconnus dont nous ne savons rien, "d'y voir plus clair" dans notre relation par on ne sait quel stratagème pouvant pour le coup détruire une relation ou y laisser planer le doute ! 


Non, restons vigilants, personne d'autre que vous (et votre partenaire) ne peut être plus à même d'appréhender pleinement et de comprendre la complexe psychologie de votre couple, ses besoins intimes, la nécessité d'une véritable communication intense et constructive, de cet élan du cœur qui fait que vous formez un duo dont le rythme bat à l'unisson pour ne former qu'un ! Interférer dans cet équilibre, avec des suppositions qui n'ont pas lieu d'être, spéculer sur le doute et l'échec de la relation, aller dans le sens équivoque d'une ambiguïté sournoise ou teintée de fatalisme, tout ceci ne peut que contribuer à la détérioration d'une relation en troublant son positivisme naturel. Ce ménage à trois, couple + "voyant", est donc à proscrire, car la destinée amoureuse n'appartient qu'à ceux qui la construisent jour après jour, nul n'a autorité sur le couple à part lui-même, nul ne peut dicter son avenir puisque celui-ci se construit réciproquement à deux, en forte communion, en saine communication ouverte et claire.

 

Pour autant, ne soyons pas austères, nous avons tous le droit de nous amuser de ces petites prophéties amoureuses, de ces encarts astrologiques dans les magazines, d'ailleurs je vous encourage à les lire, à deux, en couple, afin d'en tirer de saines conclusions en passant par l'humour pour mieux en rire ou en sourire. L'Amour et l'Humour sont deux partenaires indispensables pour souder une relation au long terme, comme le rire est le propre de l'Homme, l'Humour est le doux ciment de la complicité amoureuse pour passer au-dessus des difficultés de la vie, même les plus grands défis sont jalonnés de petites phrases, de maximes ou de citations qui relativisent les obstacles et permettent au couple de prononcer en duo à haute voix ces petites phrases salvatrices et libératrices, pour ensuite se regarder dans les yeux et se dire sans aucun mot : je t'aime.

 

"Tout est mystère dans l'Amour." Jean de La Fontaine

 

"La vie est une aspiration vers l'avenir." Pierre Leroux

 

"Le désir de l'amour engendre l'amour." Tahar Ben Jelloun

 

 

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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 15:32

amour_saint_valentin.jpgS'il y a bien un jour que tous les amoureux de la Terre attendent avec une certaine impatience, voire une palpable excitation, c'est bien celui de la Saint-Valentin ! A la fois fête officielle inscrite au calendrier et apparemment très sympathique rituel amoureux, ce jour marque avant tout d'une pierre blanche l'intérêt que l'on porte en particulier à quelqu'un qui compte dans sa vie... soit en terme de simple amitié ou d'amitié plus intime, mais plus généralement selon une orientation amoureuse ouverte et parfaitement déclarée, déjà bien en place et établie.

Depuis quelques années le "phénomène Saint-Valentin" s'est toutefois un peu plus construit autour d'un concept assez commercial, où il fait bon ton d'acheter chocolats, lingerie et autres grands bouquets de roses à sa dulcinée, c'est du moins ce que les publicités auraient fortement tendance à nous imposer assez radicalement, faute de quoi, messieurs, vous passerez irrémédiablement pour de vulgaires rustres sans éducation. En ce qui concerne madame, après avoir reçu le cadeau rituel, l'offrande à l'amour, la petite chose qui fera frémir (voire même gémir de plaisir) lorsque l'on recevra, yeux dans les yeux, oui alors seulement à cet instant, madame sera tout aise à se laisser pleinement courtisée jusqu'à la nuit venue, durant laquelle elle saura aussi, de manière éperdue, s'offrir tout entière à l'homme de sa vie...

Que de stéréotypes ici ! Mais il en va ainsi des rituels amoureux, à l'instar des danses et autres simagrées de certains animaux, l'Homme n'est finalement pas si différent d'eux lorsqu'il doit asseoir ses préférences sexuelles sur le socle de traditions ou de journée dédiées... La Saint-Valentin n'est donc ici qu'une occasion supplémentaire, visiblement officialisée, de déclarer une fois de plus sa flamme pour "passer à l'acte".

Mais ne soyons trop critiques, la Saint-Valentin n'est pas qu'une mascarade orchestrée savamment en vue de copuler généreusement, ni une journée où chacun se doit de trouver l'alter ego amoureux au risque de se retrouver au banc d'une société organisée autour du couple, que nenni : la "Fête des amoureux" est aussi, d'une certaine façon, celles de toutes les infidélités !

En effet, combien de couples vivent simultanément en cette même journée "deux Saint-Valentins" ? L'une officielle avec le conjoint, et l'autre avec la maîtresse ou avec l'amant, voire avec celui ou celle désiré(e) pour une relation se voulant ultérieurement plus intime... Oui, n'oublions pas que cette journée est la porte ouverte à une certaine exaltation, celle qui permet à celles et ceux qui ne l'auraient pas encore fait, d'aller plus loin encore, de passer le cap en étant dans la complète démonstration amoureuse, de dévoiler des plans sur la comète, d'envisager un engagement ou une rupture au profit de l'un ou de l'autre. En quelque sorte, une journée décisive de choix.

Aborder ainsi la "Fête des amoureux" sous l'angle de la Fête des déclarations et des engagements, donne une nouvelle orientation qui implique plus fortement les protagonistes. La Saint-Valentin peut alors devenir le théâtre tragique de situations conflictuelles et de souffrances si les engagements ne sont pas réciproques ou si les valeurs ne se rencontrent pas au niveau escompté, en deux mots : "ne sont pas au rendez-vous". De même, que dire lorsque l'amant ou la maitresse se révèlent d'une importance telle que le couple légitime doit en subir des conséquences souvent lourdes pour la pérennité de la relation conjugale. Ainsi, il n'est pas rare de voir des ruptures en pleine Saint-Valentin, là où l'on s'attendait à consolider le couple sur ses bases. Il en va inversement de même de ces relations dites adultères qui peuvent aussi péricliter rapidement et s'achever dans la même journée, au profit du couple légitime.

Et que dire de ces célibataires, hommes ou femmes, qui profitent de la bonne occasion, de ce jour fatidique pour déclarer tout leur amour et se voir refuser la rencontre tant attendue... ici aussi la Saint-Valentin engage le "pronostique vital amoureux" plus que tout autre jour de l'année ! Par conséquent, attention à cette assez sournoise fête des amoureux, qu'elle ne se transforme pas en fête des éconduits, des tristes esseulé(e)s, des amours et illusions en pleine perdition.

Un homme de talent disait avec justesse que "L'Amour est un sujet trop sérieux pour qu'on en parle à la légère", mais néanmoins, prenons le jour de la Saint-Valentin avec une certaine légèreté afin de ne pas en être ni déçu(e) ni trop en attendre, soyons ou plutôt essayons d'être raisonnables avec cette fameuse "journée de l'amour" pour en faire avant tout une journée de paix et de joie. Dans tous les cas, que vous soyez seul(e), accompagné(e), déjà en couple, ou bien "encore plus", je vous souhaite personnellement une très Bonne Fête de la Saint-Valentin !

"Il y a des choses qu'on ne peut dire qu'en embrassant... parce que les choses les plus profondes et les plus pures peut-être ne sortent pas de l'âme tant qu'un baiser ne les appelle." Maurice Maeterlinck

"Je l'aime trop pour en être jaloux. J'ai pris le parti d'en être fier." Pierre Choderlos de Laclos

"Le monde a soif d'amour : tu viendras l'apaiser." Arthur Rimbaud

 

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24 janvier 2012 2 24 /01 /janvier /2012 16:50

surmonter_epreuve_resilience_couple.jpgTout au cours de notre vie nous avons régulièrement des épreuves à surmonter, qu'elles soient légères ou bien plus lourdes, ces épreuves nous entraînent la plupart du temps sur des terrains difficiles qu'il faut dépasser afin d'aller de l'avant et continuer notre chemin. Cette capacité de dépassement de soi face à l'adversité s'appelle la résilience.

 

J'ai pensé qu'il était important de donner quelques informations sur ce potentiel que nous détenons tous, celui qui fait que nous ne sombrons pas lorsqu'un problème grave arrive, celui qui nous fait "prendre le choc" dans un premier temps, puis analyser les moyens de "prendre en charge" ce problème pour ensuite "prendre une résolution" ou, du moins, dépasser le problème pour qu'il n'en soit plus un. Evidemment il existe une multitude de graves problèmes auxquels nous sommes tous, plus ou moins, confrontés un jour.

 

Certains me diront : "oui mais il y a des problèmes que l'on ne peut pas surmonter". A cela je répondrais de suite : c'est faux. Mais tout dépend effectivement du sens que l'on donne au terme "surmonter", lequel doit être mieux défini car il regroupe plusieurs finalités différentes.

 

Surmonter un problème c'est avant tout le désactiver, soit en le résolvant complètement, soit en le rendant moins problématique, soit en le contournant afin qu'il n'atteigne plus sa cible, c'est à dire qu'il ne vous atteigne plus. Mais hélas, et plus généralement les "vrais problèmes graves" ne se résolvent ni complètement ni d'un claquement de doigts, ce serait trop simple... il faut souvent user de beaucoup de temps et d'énergie pour résoudre certains problèmes. En ce qui concerne l'atténuation d'un problème, cela relève avant tout de la personnalité de chaque individu et de sa capacité à relativiser la situation problématique, ici aussi, et même si cela reste moins visible, il faut disposer de beaucoup d'énergie intellectuelle pour savoir relativiser et mettre en place un "dispositif de défense personnelle", à la limite cet état de défense qui relativise pourrait s'apparenter à une certaine forme de "sagesse"... mais étant donné que nous ne sommes pas tous sages, il nous restent la troisième solution, celle de l'échappatoire, de la fuite ou du contournement... non, rassurez-vous ce n'est pas la solution des lâches mais celle qui permet de temporiser salutairement une situation difficile pour mieux l'appréhender en temps voulu et finalement s'y confronter tout de même sur la longueur, ici cela ressemble plus à une forme de "dilution" du problème.

 

Dans le cadre du couple, les problématiques peuvent être assez nombreuses, tant par les formes qu'elles peuvent prendre que par les fréquences qu'elles peuvent engendrer chaque jour, puisque la confrontation au quotidien de deux individus (qui pourtant s'aiment) n'est jamais une aventure ni simple ni si facile à vivre, n'oublions pas que chacun dispose de son terrible ego, lequel n'est pas toujours en phase avec celui du partenaire, sinon la situation serait parfaitement idyllique ou divinement paradisiaque... ne rêvons pas, vivre en couple est une épreuve presque métaphysique qui nous interroge à chaque instant !

 

Mais qu'en est-il exactement du potentiel du couple face à l'adversité ? L'amour est-il plus fort "à deux" contre les vicissitudes du monde ? Sommes-nous forcément mieux armés avec un(e) partenaire pour affronter les difficultés de la vie ? Ces questions sont fondamentales d'abord pour la bonne marche du couple mais aussi implicitement pour la bonne santé mentale de chacun... En effet, cela implique logiquement notre profonde intentionnalité d'être en couple afin d'y gagner en force, en intelligence et en sérénité. Par conséquent la réponse à ces questions ne peut être que oui. Oui, le couple est plus fort que l'individu isolé, oui le couple résiste mieux aux problématiques de notre monde moderne et sait y réagir avec une résilience plus affirmée. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il peut appréhender toutes les situations en les confrontant dans le cadre d'un échange, et que cette communication n'est autre qu'une forme de communion en réaction aux problèmes extérieurs, une sorte d'armure protectrice que le dialogue conjugal sait construire pour mieux comprendre son environnement et se projeter sur l'avenir... et comme on le sait : prévoir c'est savoir, prévoir c'est gouverner, ici le couple gouverne sa propre destinée.

 

Le plus grand des problèmes reste néanmoins la séparation. Si le couple se désunit, alors la perte de tous ces avantages peut aboutir à une forte interrogation personnelle sur des choix fondamentaux, sur le vivre en société, sur la vision du monde, sur l'estime de soi, sur sa propre sexualité, sur l'amour et même sur l'intérêt ou l'envie d'exister... c'est ce que l'on appelle communément la dépression, un terme parfaitement imagé, l'individu devient comme un vieux pneu dégonflé, sans aucune pression, aucune résistance, aucun désir. C'est ici que l'on perçoit la force de résilience d'un couple quand celui-ci justement n'existe plus, l'individu se retrouve alors seul face à toutes ses responsabilités, à l'ensemble de ses doutes, à toutes ses faiblesses et imperfections. Mais heureusement l'individu dispose aussi de sa propre capacité à se reconstruire, la résilience personnelle passe souvent par une étape de recentrage nécessaire sur son propre Ego, tout n'est alors qu'une question de temps pour recouvrer pleinement ses facultés, voire pour reconstruire le couple... avec le soutien professionnel d'un(e) spécialiste.

 

"La résilience, c'est l'art de naviguer dans les torrents." Boris Cyrulnik

 

"il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur." Frédéric Beigbeder

 

"L'homme progresse tant qu'il accepte les épreuves." Anthony Lipsey 

 

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 13:59

Libre_etre_Soi.jpgS'il est bien un mot qui caractérise notre temps, qui définit l'individualisme exacerbé que nos sociétés proposent comme modèle presque unique, un mot qui nous pousse à nous interroger sur le but réel de nos vies sans pour autant donner de réponses précises à l'existence, et que l'on soit d'ailleurs en couple ou bien célibataire : c'est bien le mot "Liberté" !

 

Sans rentrer dans des propos complexes, grégaires et donc plus larges, orientés sur la Liberté des peuples ou bien sur la Liberté d'opinion politique, nous allons plutôt nous focaliser plus humblement sur la Liberté dont dispose chaque individu : sur... lui-même. Mais les apparences sont souvent trompeuses car rien n'est plus difficile de définir jusqu'où nous pouvons aller dans notre propre "désir de nous appartenir", dans cette possible illusion que nous avons "tous les droits sur nous-mêmes"... du moins sur notre propre corps et au niveau de nos choix ou même de nos pensées personnelles ou orientations relationnelles, lesquelles semblent naturellement, intimement et légitimement "être bien à nous".

 

A y réfléchir de plus près, cette Liberté apparente qui nous semble si évidente, n'est-elle pas effectivement qu'une illusion intellectuelle ? A trop vouloir protéger notre propre individualisme dans le carcan d'une liberté individuelle trop forte ne sommes-nous pas finalement prisonniers de nous-mêmes et enfermés dans nos propres convictions ? En d'autres mots, nos visions de Liberté intime, celles de nos Ego pour être plus direct, ne sont-elles pas des obstacles pour côtoyer ou aimer autrui véritablement ?

 

Il est vrai que nos sociétés actuelles (sous d'obscures prétextes mercantiles sous-jacents et autres lavages de cerveaux permanents pour une croissance infinie et "tous azimuts") nous ont jusqu'ici poussé à cet extrême paroxysme de ne croire qu'en "l'individu fort" (et fortement consommateur), qu'en la "femme forte" qui sait assumer seule sa vie sans personne d'autre qu'elle-même, qu'en "l'homme fort" qui sait suivre sa propre voie sans autre avis que lui-même, il faut y percevoir ici une volonté presque nietzschéenne de "sur-humaniser" les capacités de l'individu au point qu'il puisse se suffire totalement à lui-même et puisse à la limite presque vivre seul sur la planète sans autre soutien que lui-même en niant les autres, s'il le désire...

 

C'est évidemment une formidable aberration qui entraine vers un individualisme à fortes tendances schizophréniques, à toujours vouloir projeter sa propre image dans celles des autres pour ne voir que soi-même, en étant toujours finalement dans une terrible désillusion, celle de la réalité de la normalité d'une relation. Les couples ont d'ailleurs été de plus en plus soumis à cette dure loi (ou mode assez dramatique) qui confronte deux individus dans leurs différences plutôt qu'elle ne les rassemble via leurs orientations communes, comme s'il devait aussi y avoir une concurrence dans la relation, sur le même modèle que celui du monde de l'entreprise ou de celui des marchés financiers... quelle perversion de la notion de relation de couple dans nos sociétés !

 

Mais le mythe de l'individualisme compulsif et "déconnecté des autres" aurait-il fait son temps en cette période de graves crises multiples et durables ? Il est plus que probable que tout change effectivement aujourd'hui face à la "réalité vraie" que l'on ne peut plus masquer, notamment à celle de la déconfiture de nos sociétés basées sur le très fictif et faux "toujours plus", toujours plus de biens à accumuler, toujours plus de mouvements dans chacune de nos minutes, toujours plus de micro-pouvoirs à capter, toujours plus d'informations à apprendre, toujours plus de satisfaction à compenser, toujours plus de consumérisme, etc...

 

Alors, la fin de l'individualisme va-t-il changer nos modes de communication entre individus avec cette prise de conscience que les "glorieuses années" sont terminées, nous dit-on ? Va-t-il y avoir un retournement sur un mode de pensée et de vie plus altruiste, plus tourné vers les autres ? Cela va-t-il même jusqu'à modifier notre vision du couple, du "vivre ensemble" plus que du vivre pour soi avec l'autre ? Personnellement j'y vois effectivement un retour à de véritables valeurs où l'humain primera sur ses besoins cupides et égocentriques, peut-être même que les sentiments et l'amour pourront reprendre leurs véritables places dans nos sociétés désavouées par le système qu'elles ont elles-mêmes créé...

 

Toujours est-il qu'il semblerait que nous entrions dans une nouvelle phase de l'histoire de l'humanité, celle qui implique une compréhension globale de notre monde pour survivre à notre voracité égotique, celle qui remet à sa place l'individu au sein d'un groupe plus avisé, qui remet à sa place l'humanité face aux ressources de notre monde, c'est une phase propice aux couples et aux relations plus saines entre les individus dans cette conscience que nous avons tous d'être sur le même navire, tous capitaines de nos vies, mais avec les autres et non uniquement pour soi-même contre son voisin. La "société de l'individualisme" n'est plus ou ne sera plus possible, une société plus globalisée est en chemin avec la conscience qu'une Liberté de l'individu en accord avec la "réalité du monde" est aujourd'hui une nécessité historique. Possible que nous allions tous vers une nouvelle société de consommation... relationnelle ! Tout un programme...

 

"La liberté d'aimer n'est pas moins sacrée que la liberté de penser." Victor Hugo

 

"J'appelle innocence cette maladie de l'individualisme qui consiste à vouloir échapper aux conséquences de ses actes, cette tentative de jouir des bénéfices de la liberté sans souffrir d'aucun de ses inconvénients." Pascal Bruckner

 

"Il existe aussi une liberté vide, une liberté d'ombres, une liberté qui ne consiste qu'à changer de prison, faite de vains combats entretenus par l'obscurantisme moderne et guidés par le faux jour." Jean-Edern Hallier

 

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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 13:55

complexe-de-Cendrillon.jpgLes contes pour enfants ont la part belle chez les psychologues et psychiatres outre-Atlantique et arrivent chez nous sous différentes formes, c'est ce que l'on constate avec cette avalanche de syndromes qui portent des noms comme Peter Pan, Blanche Neige ou bien encore Cendrillon ! Allons-nous bientôt avoir le Complexe d'Atchoum, de Timide ou de Grincheux ?

Pourquoi pas ! Mais trêve de plaisanterie puisque tout ceci reste dans une optique de classification très sérieuse, malgré certaines apparences bien évidemment trompeuses.

 

Il est en effet pratique de distribuer à la volée des noms significatifs qui résonnent dans l'imaginaire collectif et imagent tel ou tel syndrome-complexe, ceci pourrait apparemment simplifier la compréhension de la problématique et lui donner ce petit plus pour mieux le catégoriser dans la myriade de symptômes ou de comportements plus ou moins définis...

 

Justement, il semblerait que l'un de ces syndromes soit un peu plus d'actualité et resurgisse régulièrement dans les conversations des "spécialistes", surtout en période de crise pour nous faire croire que les femmes ont une prédestination à la souffrance ou à la dépendance... c'est : le Syndrome ou "Complexe de Cendrillon". Alors qu'en penser exactement ? Déjà définissons ensemble ce que cache ce fameux Complexe de Cendrillon pour lever le lièvre et mieux l'attraper par la suite, si cela est néanmoins possible, mais espérons alors ne pas être au pays d'Alice...

 

Dans un premier temps souvenons-nous de nos classiques, de ce "conte de fée" qui met en scène une pauvre jeune fille harcelée par ses soeurs, elle doit travailler sans relâche et s'occuper des pires besognes, Cendrillon est victime d'une condition qu'elle accepte, celle d'être en bas de l'échelle sous les ordres d'autrui sans rien avoir à y redire. Mais un jour, par quelques tours de magie voilà que Cendrillon se transforme en belle princesse pour un temps seulement et arrive à séduire le prince charmant par le plus grand des hasards en perdant sa pantoufle... Voici donc ce dont personnellement je me rappelle et certainement qu'ici vous aussi aurez à peu près la même version accélérée de cette histoire... A n'en pas douter il existe des centaines de versions de Cendrillon de part le monde, avec à chaque fois quelques différences fondamentales ou non.

 

Mais que signifie finalement toute cette histoire pour en faire un emblématique syndrome psychanalytique... que devons-nous en déduire, ou plutôt quelles interprétations se faufilent derrière ce conte de fée. Il y a hélas (ou heureusement...) tout autant d'explications que de variétés de cette histoire, mais il en est une qui marque une principale orientation à bien noter : c'est celle de la transformation, de l'évolution de la personne dans un contexte de contrainte. Sans rentrer dans des détails mais juste un peu tout de même, par exemple que la pantoufle de verre serait le don d'une partie de soi (certains y voient ici l'acte sexuel comme approche, avec la pantoufle comme représentation du sexe féminin, ou bien encore de la perte de la virginité), il semble évident qu'il y a ici une signification bien plus globale : celle de la condition de la femme vis à vis de sa famille et des hommes (ou de l'homme désiré via le "prince charmant").

 

Pour en revenir à nos moutons du quotidien, sans pour autant avoir à faire le ménage comme Cendrillon... Ce syndrome met l'accent sur l'interrogation qu'ont les femmes qui travaillent, notamment sur la qualité de leur vie moderne et relationnelle, doivent-elles rester seules à s'assumer, dans des conditions souvent difficiles ou bien chercher un "homme providentiel" pour vivre une histoire d'amour à deux, mais doivent-elles aussi dans ce cas se donner corps et âme pour échapper à la solitude et aux difficultés ? N'y a t'il ici qu'une solution de renoncement à soi-même afin d'échapper à sa propre existence solitaire ou bien au contraire, la condition de la femme peut suivre d'autres chemins sans être invariablement lié au désir de s'unir.

 

L'on voit très bien toute la complexité du problème en passant par un simple conte de fée... le "Complexe de Cendrillon" peut se jouer dans deux sens radicalement opposés et extrêmes : soit les femmes renoncent à toute vie amoureuse pour se démontrer d'abord à elles-mêmes qu'elles sont complètement autonomes et indépendantes des hommes, soit elles renoncent à toute vie sociale et professionnelle afin de se prouver qu'elle savent aimer un homme et s'y dévouer corps et âme "dans le meilleur des Mondes" comme dans un conte de fée... Evidemment dans les deux cas c'est une erreur.

 

Ceci-dit les femmes modernes ont bien cette double interrogation, celle d'exister à part entière en tant que femme active, mais tout en partageant si possible avec un partenaire, c'est une dualité qu'impose notre société, le choix du "dosage de l'ego" en revient à chacune d'entre nous.. dans tous les cas méfions-nous de ces contes de fée qui se terminent trop bien et selon une finalité écrite d'avance, regardons les plutôt autrement pour en définir nos propres options personnelles, nos propres histoires, mais attention de ne pas attendre la toute dernière minute, celle d'après minuit !

   

"Une morale nue apporte de l'ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui." Jean de La Fontaine

 

"La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur." Sénèque

 

"La beauté, pour le sexe, est un rare trésor. De l'admirer jamais on ne se lasse ; Mais ce qu'on nomme bonne grâce Est sans prix, et vaut mieux encore."  Charles Perrault (Extrait du conte Cendrillon)

 

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